Un coup de pouce pour les familles en IEF

Il n’existe pas de chiffres officiels, mais en France le nombre d’enfants instruits par le biais de l’Instruction En Famille (IEF), aussi appelée homeschooling, se situerait entre 30 000 et 50 000 à l’heure actuelle. Pour les parents qui ont opté pour cette solution, il peut s’agir d’une nécessité, comme dans le cas des familles nomades ou accompagnant un enfant malade ou porteur de handicap, ou d’un choix engagé visant à éviter les VEOs, à respecter le rythme propre à chaque enfant ou à ne pas se conformer à un mode de vie imposé par la société.

Mais parfois ce choix peut venir alourdir la charge mentale des parents déjà conséquente à l’heure actuelle, puisqu’il faut à la fois endosser le rôle du parent et celui de l’enseignant… Ces familles ont parfois tendance à oublier qu’elles peuvent aussi faire le choix de la garde éducative quelques heures par semaine pour leurs enfants, même s’ils ne sont pas scolarisés, et que des aides de l’état existent pour cela.

Vous avez fait le choix de l’instruction en famille mais auriez parfois besoin d’un peu de temps et d’espace pour vous ? Vous n’êtes pas seuls ! Savez-vous que la garde éducative peut non seulement vous permettre de souffler mais aussi de rencontrer d’autres familles dans le même cas, susceptibles d’enrichir votre quotidien et celui de vos enfants ? Domissori vous propose aujourd’hui un tour d’horizon des avantages de la garde éducative pour vous.

Déléguer une partie des apprentissages

Même lorsqu’on est un super-parent en IEF, on ne peut pas être expert partout ! Chacun ses spécialités, et chacun ses failles. Certains apprentissages demandent beaucoup plus de travail et de patience à certaines personnes. Vous avez fait le tour de la numération et du système décimal en un temps record et avec un plaisir partagé par vos enfants ? Il n’en est peut-être pas de même avec l’apprentissage de la lecture ou de la géographie par exemple.

Vous savez déjà que les enfants sont des éponges, et que vous forcer à passer du temps sur un sujet peut être contre-productif. Alors pourquoi ne pas vous offrir le luxe d’une garde éducative de quelques heures par semaine à votre domicile pendant laquelle vous confierez à un intervenant la tâche qui vous enthousiasme le moins ? L’occasion pour vous d’un sas de décompression qui vous permettra de recharger vos batteries et de faire émerger de nouvelles idées d’activités pédagogiques.

Découvrir ou approfondir la pédagogie Montessori

Peut-être avez-vous comme de nombreux parents découvert les pédagogies actives telles que celle de Maria Montessori au moment de faire les premiers choix en matière d’éducation pour votre enfant. Mais après un coup d’œil aux options proposées du côté des écoles alternatives, l’idée de l’IEF s’est peut-être imposée, faute de budget !

Chez Domissori, nous pensons que ces pédagogies ne devraient pas être réservées à une seule partie de la population. C’est pour cette raison que nous proposons des ateliers Montessori pendant les temps de garde au domicile des familles, avec des éducateurs formés et expérimentés.

Quel parent en IEF n’a jamais rêvé d’avoir un interlocuteur expert en pédagogies actives à qui il pourrait poser ses questions ? Votre enfant pourrait ainsi développer ou consolider ses apprentissages à la lumière des pédagogies actives, accompagné par un intervenant utilisant la posture bienveillante prônée par Maria Montessori.

Sociabiliser votre enfant

Les personnes non-sensibilisés au principe de l’IEF pensent souvent que les enfants risquent de manquer de sociabilisation en restant à la maison. Pourtant les parents adeptes du homeschooling ont l’habitude de multiplier les occasions pour leurs enfants de rencontrer leurs pairs grâce aux rencontres organisées par les différents groupes autour de l’IEF. Cependant cette mission est plus ou moins aisée selon les régions !

Les prestations pédagogiques en garde partagée peuvent vous permettre de rencontrer d’autres familles proches de chez vous, permettant ainsi à votre enfant d’évoluer au sein d’un petit groupe d’enfants quelques heures par semaine. Il peut ainsi multiplier les expériences d’interaction sociale tout en conservant les bénéfices de l’école à la maison. Et, point non négligeable, ce système de garde partagée permet d’appliquer un tarif inférieur à celui de la garde simple pour vos prestations à domicile.

Lui offrir l'expérience de l'immersion linguistique

En IEF, vous avez un luxe que tous les autres parents vous envient : pouvoir voyager en dehors des périodes de vacances scolaires (et donc moins cher ) pour faire découvrir le monde à votre tribu ! Pourquoi ne pas commencer à préparer dès maintenant vos futures vacances à l’étranger en organisant pour votre enfant des ateliers d’immersion linguistique à la maison ?

Nos équipes support sont à votre écoute pour vous proposer un intervenant natif d’un pays où est parlée une autre langue. Pendant nos gardes en immersion, la règle est simple mais efficace : on ne parle pas français jusqu’au départ de l’éducateur !

Pendant ces quelques heures passées avec votre enfant, l’intervenant lui proposera des activités ludiques, créatives ou de vie pratique en fonction de ses goûts, tout en lui parlant dans sa langue natale. L’esprit absorbant de votre enfant fera le reste du travail…

Ouvrir un dialogue pédagogique

On peut parfois se sentir seul lorsqu’on pratique l’IEF. Les groupes de discussion sur Internet ne suffisent pas toujours à nous rassurer sur nos problématiques.

En souscrivant à une offre d’ateliers éducatifs, vous faites rentrer dans votre vie et dans celle de votre enfant une personne formée et surtout passionnée par les pédagogiques alternatives, et donc bien placée pour comprendre vos choix d’éducation. De quoi vous sentir épaulé et écouté !

En plus de sa prestation auprès votre enfant, votre éducateur peut vous accompagner dans la mise en place d’un environnement montessorien à la maison, pour plus de continuité pédagogique. Il partagera avec vous ses astuces et conseils pour accompagner au mieux votre enfant dans le développement de son plein potentiel. Ces échanges enrichissent aussi l’éducateur !

Résoudre un blocage

On a beau être à l’écoute de son enfant et lui donner le meilleur de soi-même, on doit parfois faire face à un blocage pédagogique qu’on n’arrive pas à résoudre.

Pour cela un regard extérieur est parfois nécessaire, pour retirer le côté affectif et émotionnel de l’apprentissage en question. Votre enfant peut parfois avoir peur de vous décevoir… N’hésitez pas à solliciter une aide extérieure !

Avec son recul et son expérience, un éducateur peut vous donner le coup de pouce nécessaire pour vous aider à comprendre le blocage. Après avoir fait connaissance avec votre enfant et déterminer son profil d’apprentissage, il vous fournira les outils pour aborder la problématique de manière différente grâce aux pédagogies actives.

Avoir enfin du temps pour soi !

Même si faire l’école à la maison pour votre/vos enfant(s) est un choix que vous avez fait et que vous êtes heureux de partager votre quotidien avec eux, vous avez aussi le droit de rêver parfois d’un peu de silence…

Avec les ateliers éducatifs à domicile, vous avez l’occasion de vous octroyer un peu de temps pour vous pendant la journée, pour prendre vos rendez-vous, travailler au calme ou tout simplement vous reposer ! Vous partez en toute sérénité, sachant que vos enfants sont accompagnés par un expert bienveillant en accord avec vos principes d’éducation.

De plus, grâce à l’Ed’solidaire de Domissori qui permet de cumuler le Complément de Mode de Garde de la CAF, le crédit d’impôts et une aide d’Educ-up, votre facture pour l’offre d’ateliers pédagogiques « Je fais » ou de baby-sitting bienveillant (possible en immersion linguistique) « Je suis » peut être jusqu’à 100% remboursée.

8 bonnes raisons de souscrire àl’offre de soutien scolaire « Je pense »

Grâce au service « Je pense » de Domissori, vous avez la possibilité de faire bénéficier votre enfant de la première offre de soutien scolaire d’inspiration Montessori !

Côté professeur, Domissori ne transige pas sur les profils de ses intervenants : bienveillance, connaissance des pédagogies actives et des profils d’apprentissage sont de rigueur pour accompagner l’enfant dans le développement de son plein potentiel. Côté élève, on mise sur l’autonomie, la méthodologie et l’écoute pour que l’enfant ou l’adolescent puisse se sentir unique et épaulé.

Domissori revient pour vous sur les bénéfices pour votre enfant de la souscription à cette offre de soutien scolaire innovante.

1. Pour offrir à votre enfant un coup de pouce personnalisé.

Le système scolaire français laisse peu de place à la relation élève/professeur malgré les bonnes volontés du corps enseignant. Certains élèves arrivent à tirer leur épingle du jeu même noyés dans une classe de 35 élèves, tandis que d’autres ont besoin qu’on leur accorde plus de temps et d’attention.

Sans entrer en relation avec l’enfant, il n’est pas possible de personnaliser l’enseignement qu’on lui offre. L’intérêt majeur du soutien scolaire est d’offrir une aide sur mesure pour chaque enfant. L’intervenant a le luxe de découvrir la personnalité de l’élève, de l’observer et d’essayer de le comprendre au mieux pour lui fournir les outils adaptés à son profil et à ses besoins.

Notre offre de soutien scolaire est entièrement personnalisée. Nos intervenants n’arrivent pas chez vous avec des fiches toutes prêtes ! Ils entrent en contact avec votre enfant et votre famille pour adapter leur aide à vos besoins réels.

2. Pour identifier son profil d’apprentissage.

Nos intervenants sont passionnés par la pédagogie, les neurosciences, la psychologie de l’enfant. Ils s’appuient sur les intelligences multiples pour identifier le profil d’apprentissage de l’élève. Il est aussi important pour eux de comprendre quel est le profil de motivation de l’élève, ainsi que son profil de compréhension. Malheureusement, la plupart des élèves arrivent au collège sans même connaître la méthode de mémorisation qui leur convient le mieux. 

Identifier ces profils permet à l’enseignant de mieux connaitre l’élève et donc de mieux comprendre ses blocages. Il fera ensuite preuve d’imagination pour proposer une approche différente, mieux adaptée à l’enfant. 

Pas la peine de s’acharner si une manière d’apprendre ne convient pas à l’enfant ! Pourquoi appuyer sur les points faibles plutôt que sur les points forts ? Il existe tant de ressources à notre disposition pour peu qu’on s’intéresse au sujet…

3. Pour travailler l’autonomie et la méthodologie.

Une fois le profil d’apprentissage de l’enfant déterminé, on lui offre des outils concrets pour travailler.

Le premier cadeau à lui faire est le développement de l’autonomie. L’élève doit pouvoir se sentir acteur plutôt que de subir sa scolarité. Pour Maria Montessori, l’autonomie est la clef du développement du potentiel de l’enfant et de ses apprentissages. Nos intervenants n’ont pas la volonté de rester indispensable à l’enfant. Leur but est de pouvoir s’effacer progressivement lorsque l’enfant se sentira prêt.

Mais avant toute chose, il faut apprendre à apprendre ! Pourtant dans notre système scolaire aux programmes surchargés, les professeurs ne disposent que de peu de temps pour enseigner la méthodologie, pourtant essentielle. Les élèves ont cruellement besoin d’apprendre à s’organiser dans leur travail, à gérer leur temps, à synthétiser l’information, à dompter leur stress et leurs émotions… Fournissons-leur ces outils avant qu’il ne soit trop tard !

4. Pour reprendre les bases à la lumière des pédagogies actives.

Votre enfant est fâché avec les maths ? Il a sans doute manqué d’une approche sensorielle avant de pouvoir passer à l’abstraction. « Rien n’est dans l’intellect qui ne soit préalablement passé par les sens » disait Aristote. Pour Maria Montessori, l’éducation doit avant toute chose être sensorielle. La manipulation d’un matériel concret permet à l’enfant de créer une image mentale qui va un jour lui permettre de passer à l’abstraction. Mais seulement dans un deuxième temps !

« C’est l’éducation physiologique qui prépare directement l’éducation psychique en perfectionnant les organes des sens et les voies nerveuses de projection et d’association. » (Maria Montessori)

Pourtant, dans le système traditionnel, on continue de penser qu’il faut comprendre un concept avant de pouvoir le manipuler, ce qui engendre des incompréhensions, des lacunes, des blocages…

Grâce aux pédagogies actives, nos intervenants peuvent réexpliquer des concepts de manière différente et inédite pour l’enfant, pour des bases plus solides, qu’il s’agisse de langage, de mathématiques ou de géométrie…

5. Pour répondre à un besoin spécifique.

Classe surchargée, programme identique pour tous, règles de vie de classe non adaptables… Notre système scolaire, malgré les quelques aménagements existants, ne tolère pas la différence.

Parmi nos intervenants pour l’offre de soutien scolaire « je pense », on trouve des personnes formées aux besoins spécifiques et au handicap (troubles DYS, Haut Potentiel, troubles du spectre autistique, TDAH…) afin d’offrir nos services à tous les enfants, quelle que soit leur particularité. N’hésitez pas à le préciser lors de votre demande de devis.

Grâce à notre service de soutien scolaire bienveillant, l’enfant peut s’épanouir avec l’aide d’un éducateur formé qui adaptera les séances de travail à ses besoins : certains enfants porteurs de troubles du spectre autistique supportent difficilement de rester assis, d’autres porteurs d’un trouble DYS apprennent mieux en dessinant ou en chantant… Chez Domissori, l’adulte s’adapte à l’enfant !

6. Pour booster la confiance en soi de votre enfant.

Repartir de zéro avec un intervenant extérieur qui n’a rien à voir avec l’école, le collège ou le lycée, c’est offrir à votre enfant la possibilité de reprendre confiance en lui grâce à une relation saine avec un intervenant bienveillant et à son écoute. Loin du stress de l’école et des notes… 

La confiance en soi est fondamentale dans le développement du potentiel de votre enfant. C’est même la base de ses apprentissages. Pourtant elle est souvent malmenée par le système scolaire.

En permettant à l’enfant de mieux se connaître, d’acquérir des outils efficaces et adaptés à son profil, d’apprendre à travailler en autonomie, on lui montre qu’il est capable de relever des défis et de faire face à la difficulté. Sa confiance en lui-même se renforce, jour après jour.

7. Pour gagner en motivation.

Le cercle vertueux ne s’arrête pas là ! En gagnant en autonomie et en confiance en lui, le degré de motivation de l’enfant grandit lui aussi au fil du temps.

Grâce à un accompagnement bienveillant et à une écoute active, nos intervenants aident l’enfant à se questionner, à donner du sens à son travail scolaire. Son avis compte ! Un enfant qui se sent compris et écouté gagne en motivation, rien de plus normal…

En tant qu’adulte, donneriez-vous le meilleur de vous-même dans une entreprise où vous ne vous sentiriez pas entendu et respecté ? 

8. Pour bénéficier de l’avance immédiate du crédit d’impôt.

Grâce au crédit d’impôt, vous bénéficiez déjà d’une remise de 50% sur votre devis de soutien scolaire « Je pense », Domissori étant un service agréé d’aide à la personne.

La bonne nouvelle, c’est qu’à partir de septembre 2022, l’Urssaf met en place le service « Avance immédiate » qui vous permet de déduire immédiatement votre crédit d’impôt du montant de votre facture Domissori pour les prestations réalisées à votre domicile. Il s’agit d’un service optionnel, gratuit et dématérialisé. Ce nouveau service de l’Urssaf vous permet de bénéficier immédiatement du crédit d’impôt : plus d’avance de trésorerie à faire

L’équipe de Domissori, prônant l’accessibilité depuis toujours, se réjouit de cette avancée qui représente encore un pas de plus vers la démocratisation des pédagogies actives ! Demandez votre devis dès maintenant pour en bénéficier.

Interview : Handicap et scolarité

Chez Domissori, on aime recruter des pépites, des autodidactes passionnés, des profils rares et atypiques dont le parcours professionnel et la vie personnelle sont parfois intimement liés.

C’est le cas d’Elisabeth qui, après s’être consacrée à des postes commerciaux, a vu sa vie chamboulée par l’arrivée d’un de ses enfants, porteur de handicap. Elle réalise alors la difficulté de la vie de parents d’enfant hors normes, entre système scolaire inadapté et marathon administratif pour des prises en charge aléatoires… Elisabeth voit depuis ce jour le monde autrement. Elle décide alors de consacrer sa carrière à accompagner les enfants dans le développement de leur potentiel et d’aider leurs parents à porter un autre regard sur eux.

Aujourd’hui éducatrice chez Domissori, elle s’occupe également de recruter, former et guider de nouvelles recrues. Nous sommes fiers de vous présenter aujourd’hui cette collaboratrice qui porte à elle seule toutes les valeurs d’Educ-up !

Bonjour Elisabeth ! Peux-tu revenir pour nous sur ton parcours ?

Après un bas S et un IUT dans la gestion des entreprises, j’ai occupé plusieurs postes dans le domaine commercial. J’ai ensuite bifurqué vers le monde de l’accompagnement scolaire un peu par hasard…

L’arrivée de mon fils porteur de handicap m’a poussé à voir le monde autrement. Je me suis rendu compte à quel point les adaptations du système scolaire étaient insuffisantes pour y accueillir les enfants à besoins spécifiques. J’ai alors commencé à m’intéresser aux diverses problématiques liées au handicap, côté parents et côté enfants.

Je suis devenu AESH (Accompagnante d’Elèves en Situation de Handicap) dans l’éducation nationale pendant 6 ans. J’aimais ce métier mais pour moi les conditions de travail n’étaient pas réunies pour aider les enfants à développer pleinement leur potentiel. Je souhaitais me sentir vraiment utile.

Comment as-tu complété tes compétences lors de cette reconversion ?

J’ai enchainé plusieurs formations après la naissance de mon fils et je n’ai jamais arrêté depuis car je suis de nature très curieuse !

J’ai passé un CAP petite enfance, puis une formation de conseillère en orientation et de coach scolaire.

Je me suis formée sur le handicap et les besoins spécifiques : les troubles DYS, le TDAH (Trouble du Déficit de l’Attention avec ou sans Hyperactivité), les TSA (Troubles du Spectre de l’Autisme).

J’ai acquis des outils pour accompagner les enfants non verbaux : LSF (Langue des Signes Française) et méthode Makaton (langage composé de signes et de pictogrammes).

J’ai également suivi une formation sur le dossier MDPH (Maison Départementale des Personnes Handicapées) pour pouvoir accompagner au mieux les parents face à cette lourde tâche administrative.

Je suis actuellement en formation sur le HP (Haut Potentiel).

Tu as donc ensuite quitté l'éducation nationale ?

Oui. Riche de mes expériences et de mes nouvelles compétences, j’ai décidé de monter mon entreprise d’accompagnement scolaire. Les premières familles que j’ai suivies sont celles que j’avais rencontrées en tant qu’AESH.

Je me suis épanouie dans l’accompagnement individuel des enfants car celui-ci me permet de m’adapter à eux, en n’obligeant pas des élèves atypiques à s’assoir à une table pour apprendre par exemple. On passe par le biais des jeux, de la cuisine…

En tant qu’autodidacte, rien ne m’empêche de piocher dans différentes pédagogies : Montessori, Steiner, Freinet, etc. Je fais ma propre cuisine avec les outils qui m’inspirent !

Ma petite entreprise s’est peu à peu développée, passant de 2-3 élèves au départ à 35 élèves en 2021. Elle a commencé à prendre un peu trop d’ampleur pour moi seule…

C'est à ce moment qu'intervient Domissori ?

Oui, car je n’ai que deux bras et deux jambes ! Je ne pouvais plus gérer toutes les demandes moi-même. J’ai commencé à travailler pour Domissori en proposant des ateliers pédagogiques au domicile des familles. Puis j’ai rejoint le service support au sein duquel j’ai pu agrandir l’équipe pour ne pas avoir à refuser de demandes. J’ai ensuite basculé l’accompagnement de toutes mes familles chez Domissori.

Aujourd’hui j’alterne les ateliers pédagogiques auprès des familles et mon travail auprès de l’équipe support : je recrute, forme et soutiens de nouveaux intervenants en tant que référente handicap pour la région AURA.

Je bénéficie des nombreuses formations internes qui m’ont permis de développer mes compétences, sur la pédagogie Montessori entre autres. Moi qui suis si curieuse et adore apprendre, je suis servie !

Quelles sont tes valeurs communes avec Domissori ?

Nous travaillons dans la même posture bienveillante, que j’ai toujours eu et qui au final correspond à celle de Maria Montessori : considérer que l’adulte ne sait pas tout, respecter, écouter et observer l’enfant

Nous partageons cette notion de tolérance, en acceptant que tout le monde ne soit pas au même niveau et en nous adaptant à chaque individu. Nous avons le même but : aider l’enfant à développer son potentiel et son autonomie.

Je retrouve chez Domissori la même liberté pédagogique que j’ai eue en travaillant pour moi-même.

Je propose aux familles un accompagnement à la frontière des ateliers pédagogiques et du soutien scolaire. Je n’arrive jamais avec des fiches toutes faites, mais je m’adapte à l’enfant et à ses besoins du moment. Il faut être flexible pour pouvoir accueillir le chaos de certains enfants à besoins spécifiques.

Quels sont tes souhaits pour l’avenir ?

Continuer à accompagner les enfants ET les parents. Ces derniers ont aussi besoin d’être écoutés, formés, guidés. Lorsqu’on devient parent, et encore plus lorsqu’on est parent d’un enfant porteur de handicap, on est lâché en pleine nature, on peut ressentir une grande solitude. On a l’impression de ne pas comprendre son propre enfant, sur qui la société porte elle-même un regard négatif…

Je souhaite donner des clefs aux parents pour comprendre le fonctionnement de leur enfant. Les aider à changer le regard qu’ils portent sur lui.

Et je souhaite bien sûr continuer à accompagner les enfants dans le développement de leur potentiel. Selon le psychologue cognitiviste Howard Gardner, il existe 8 intelligences multiples. Dans le système scolaire français, on en exploite seulement 2…

Les enfants hors normes ont énormément de compétences, ils n’ont juste pas celles demandées par le système. Ils sont en échec scolaire car on appuie sur les points faibles au lieu d’appuyer sur les points forts !

Mon rôle est de les aider, à force de questionnements et d’observation, à développer leurs compétences et à trouver une orientation qui leur permette de trouver leur place dans la société.

Un grand merci Elisabeth pour ce partage d'expérience !

Trouver son mode de gardepour la rentrée

L’année scolaire s’achève et vous oblige peut-être à revoir votre organisation familiale pour la prochaine rentrée. Votre petit dernier fait sa rentrée en petite section en septembre ? Il va donc falloir vous organiser pour les mercredis qui ne seront plus inclus comme à la crèche ou chez une assistante maternelle, voire pour les soirées si vous n’avez pas la possibilité d’aller le chercher à la sortie de l’école.
Vos enfants sont désormais un peu plus grands et c’est vous qui ne serez plus disponible les mercredis pour les garder ? Mais comment faire pour leur permettre de poursuivre leurs activités extra-scolaires ?
Vous aviez une étudiante qui gérait les sorties d’école pour vous mais son emploi du temps change en septembre ? Il va à nouveau falloir trouver une baby-sitter, ou encore mieux, une Maria-sitter ! On vous donne un coup de main ?

Mon enfant a moins de 3 ans et je reprends le travail

Pas facile de laisser son enfant pour la première fois… Pas facile d’obtenir une place en crèche… Pas facile de trouver une nounou formée aux pédagogies actives… Un vrai casse-tête et une source de stress pour les parents ! Et si on vous aidait pour que cette nouvelle étape se fasse en douceur ?

L’offre « Je m’éveille » vous propose de faire garder votre enfant à plein temps et à votre domicile par une professionnelle de la petite enfance formée à la pédagogie Montessori, en garde simple ou en garde partagée. Non seulement les besoins fondamentaux de votre enfant sont respectés, mais son éducatrice lui apporte des outils au quotidien pour le stimuler et l’éveiller… Elle vous aide au quotidien, en respectant les principes d’éducation que vous avez choisie pour votre famille. Le tout à partir de 3 euros de l’heure en garde partagée après déduction des aides. Tentant non ?

Mon enfant rentre en maternelle

S’il a seulement 3 ans, votre enfant encore trop petit pour rester à l’école pendant le temps périscolaire. Bien sûr, dans l’idéal, vous aimeriez être là pour lui chaque soir à la sortie de l’école, mais c’est souvent compliqué de partir du travail à 16h… Ce qu’il vous faut, c’est un mode de garde doudou, rassurant pour votre bambin… et pour vous ! Quelqu’un qui soit là pour aller le chercher à l’école, le faire goûter, jouer avec lui, lui faire prendre son bain… le tout avec douceur et bienveillance.

Nos intervenants, appelés « Maria-sitters », sont de futurs éducateurs sélectionnés avec rigueur pour leur alignement avec nos valeurs bienveillantes. Ils s’adaptent à vos besoins pour vous aider à installer des routines rassurantes pour votre enfant au quotidien. Quel plaisir et quelle sérénité de le savoir entre de bonnes mains !

Mon enfant a une/des activité(s) extra-scolaire(s) le mercredi

Là aussi, Domissori peut vous aider à trouver la perle rare qui accompagnera votre enfant tout au long de la journée. Votre Maria-sitter s’occupera de le conduire à ses différentes activités et lui proposera de s’occuper à la maison le reste du temps, avec des activités ludiques ou créatives selon ses envies.

Pourquoi ne pas en profiter pour offrir à votre enfant une immersion en langue étrangère avec une nounou native d’un autre pays ? C’est possible dès le plus jeune âge avec Domissori. Le mercredi se déroulera toujours selon l’emploi du temps de votre enfant, entre jeux, activités ou atelier pâtisserie… mais le tout dans une nouvelle langue ! Une belle façon de booster la confiance en soi de votre enfant et de développer son ouverture d’esprit. N’hésitez pas à préciser la langue souhaitée lors de votre demande de devis…

Vous souhaitez offrir à votre enfant des atelier pédagogiques

Vous vous intéressez aux pédagogies actives, mais vous ne vous reconnaissez pas dans les écoles alternatives hors de prix ? Vous n’avez pas d’école Montessori à proximité de chez vous ? Vous aimeriez que votre enfant puisse approfondir certains apprentissages grâce à la pédagogie Montessori tout en restant au sein de l’éducation nationale ? Vous avez choisi l’instruction en famille et avez envie de souffler quelques heures dans la semaine en déléguant certains apprentissages à un professionnel ?

Domissori est la première société de service à la personne à proposer une garde d’enfant éducative. Nos éducatrices formées et diplômées proposent des ateliers inspirés de la pédagogie Montessori à votre domicile sur le format souhaité (le mercredi, le samedi ou après l’école). Elles s’adaptent à votre enfant pour lui proposer une approche ludique, renforcer et développer ses apprentissages scolaires. Nous travaillons dans une démarche inclusive pour proposer cette garde éducative à tous les enfants, y compris ceux à besoins spécifiques ou porteurs de handicap.

Vous avec une place en crèche publique

Vous faites partie des heureux élus qui ont eu la chance d’obtenir une place en crèche ? Mazel Tov ! Vous savez donc votre enfant entre de bonnes mains pendant que vous êtes au travail.

Mais le temps pour vous, y avez-vous pensé ? Du temps pour gérer la logistique de la maison sans enfant, pour faire du sport, prendre soin de vous, ou souffler, tout simplement ? Savez-vous que vous avez le droit à 16 heures de garde d’enfant supplémentaires par mois payée par la CAF dans le cadre du CMG (Complément de Mode de Garde) pour vos enfants âgés de moins de 6 ans ?

Pendant que votre enfant s’épanouit grâce à un atelier Montessori ou d’immersion en langue étrangère à la maison, vous pourriez vous aussi bénéficier d’un moment de qualité pour recharger vos batteries. Ce serait dommage de s’en priver non ?

Vous l’aurez compris : tout a été prévu chez Domissori pour vous aider à trouver la solution de garde parfaite pour vous et vos enfants. Des nounous bienveillantes, bilingues, formées aux pédagogies actives… Cela vous parait trop beau pour être vrai, et peut-être pas adapté à votre budget ?

Mais saviez-vous que Domissori est une société engagée sur l’impact social, qui a pour but de démocratiser les pédagogies actives en les rendant accessibles à tous ? Grâce à nos habilitations, vous pouvez bénéficier d’aides de la CAF comme le CMG (Complément de Mode de Garde) ou la PAJE (Prestation d’Accueil du Jeune Enfant) ainsi que le remboursement par crédit d’impôts, allégeant considérablement votre facture. N’hésitez pas à demander votre devis pour en avoir la preuve !

L’éveil musical : une activité essentielle pour le développement de votre enfant

Nous sommes tous des musiciens, équipés de cordes vocales, d’un cœur qui bat, et comme les oiseaux nous chantons quand nous sommes heureux et gazouillons dès le plus jeune âge.

Crystel, musicienne et pédagogue, nous explique aujourd’hui pourquoi la musique est un outil précieux pour éveiller et stimuler nos enfants dès le plus jeune âge.

Un beau cadeau pour son avenir

Participer avec votre enfant à un atelier d’éveil musical, c’est vous immerger dans un bain de sons, rythmes, découvrir l’alphabet musical, jouer avec de vrais instruments, aiguiser votre oreille.

La langue française est une langue dont les fréquences sont assez basses. Ce qui explique les difficultés d’apprentissage de nouvelles langues, l’oreille n’étant pas habituée à des fréquences plus hautes comme celles émises par la langue anglaise.

Habituer votre enfant dès le plus jeune âge à écouter et chanter des chansons en langue étrangère avec une diversité d’instruments aux timbres variés, c’est lui permettre d’affiner son ouïe et faciliter son accès au langage.

Si dans votre famille plusieurs origines coexistent, mettez à profit cette richesse culturelle pour imprégner votre enfant dès le plus jeune âge de musiques et comptines de là-bas.

Une astuce pour bien les mémoriser : chantez toujours au minimum trois fois la chanson, lentement, si possible en associant le geste au chant, et ne vous privez pas d’une dernière répétition au moment du coucher.

Une activité adaptée aux tout-petits

Le tout-petit aime naturellement chanter et danser, c’est pour lui un univers chaleureux et vivant dans lequel il peut s’exprimer avec tous ses sens. Les cordes du ukulélé vibrent, la flûte ulule comme le hibou, le bâton de pluie l’émerveille et il court avec plaisir faire tinter les cloches colorées ou jouer sa musique au xylophone.

Ce n’est pas un hasard si on utilise le terme « jouer de la musique ». La musique a tous les ingrédients pour devenir son jeu favori : les découvertes sont nombreuses, les instruments d’éveil musical d’aujourd’hui particulièrement bien adaptés à ses petites mains, les musiciens ont développé avec créativité des activités qui suscitent leur intérêt.

Connaissez-vous monsieur Métronome qui donne le rythme ? Connaissez-vous l’arc-en-ciel des couleurs et le bruit de ses notes ? Savez-vous ce qui fait « Boum Boum » dans votre corps et rythme vos pas, votre vie ? Autant de petits jeux narratifs qui vont faire prendre conscience à votre enfant des notions musicales d’aigu, de grave, de rythme, de nuances qui l’accompagnent au quotidien (le chant des oiseaux, le tic-tac des horloges, le « PinPon » du camion de pompier, le chant du thé qui s’écoule de la théière, oui, tout a une musique).

Un chemin vers l'autonomie

L’enfant, apprenant par mimétisme, va toucher du doigt des compétences importantes : maîtriser son geste (et oui il peut découvrir qu’il n’a pas besoin de taper aussi fort pour émettre un joli son), découvrir sa voix, écouter celle des autres, jouer en groupe, attendre un tout petit peu son tour, éprouver toute une gamme d’émotions, faire comme et aussi bien que les grands, ranger les instruments, se concentrer, progresser. Sans oublier le sens du rythme et de l’harmonie propres à tous les musiciens en herbe.

Les enfants qui fréquentent un atelier d’éveil musical trouvent un autre moyen d’expression, et pour les natures timides, cela peut être libérateur !

Des souvenirs magiques

Le plus important étant les souvenirs indélébiles que ses premières expériences musicales vont graver en lui. « Tu te rappelles quand on chantait  à tue-tête ‘ Le lion est mort ce soir ? ‘, j’adorais piocher le triangle dans le sac d’instrument. L’atelier d’éveil musical j’y allais en courant, une fois on a même inventé une chanson sur ma mamie ou pour mon anniversaire, j’adorais la ronde à la fin ! ».

Ces bonnes vibrations emmagasinées pendant la petite enfance en feront des adultes plus heureux et épanouis, et tous les indices récoltés seront un accès à une meilleure connaissance de lui-même.

Bien choisir son atelier

Avant 6 ans, et l’âge d’acquisition de la lecture, la notion d’éveil est capitale. L’approche doit rester ludique, sans pression ni attente de résultats, l’apprentissage théorique précoce risque de dégoûter l’enfant démotivé par une approche trop rigide et scolaire.

Vous avez choisi le bon atelier d’éveil musical si :

. Votre enfant ne veut pas en partir.
. Votre enfant veut y revenir.
. Votre enfant prolonge les réjouissances en jouant à la maison ou en faisant la démonstration de ce qu’il appris à ses copains.

Sinon, fuyez, la petite enfance doit rester ce terrain de jeu privilégié pour expérimenter la joie de vivre !

Crystel Rahamefy anime des ateliers d’éveil musical parents-enfants :

Où ? 7, rue des cinq diamants 75013 PARIS
Quand ? Tous les samedis à 10h15
Tarif : 30 euros TTC le duo un parent + un enfant

Réservations et informations sur son site ou par mail.

Possibilité d’intervention dans les structures petite enfance et jeunesse.

10 conseils pour aborder sereinement la rentrée

L’été a filé à toute vitesse et il est déjà temps de se préparer pour la rentrée… Comme tous les moments importants pour vous et votre famille, elle risque de générer du stress. Mais rien n’est figé ! Avec une bonne dose d’organisation, la rentrée peut aussi être un moment agréable qui sonne comme un nouveau départ, où tout est possible.
Voici nos conseils pour une rentrée douce et positive !

1. On trie les fournitures dès la fin de l'année scolaire

On fait le point dès le mois de juin pour s’alléger l’esprit et éviter de racheter des choses inutiles. Si vous avez misé sur du costaud pour le cartable et la trousse, vous éviterez peut-être de devoir en racheter. Peut-être aurez-vous aussi la chance de pouvoir réutiliser certaines affaires au sein de la fratrie ?

La plupart des cahiers n’ont pas besoin d’être conservés d’une année à l’autre, alors on fait une (petite) sélection souvenir pour les plus petits avec les premiers dessins et les premiers mots qu’on range avec les photos de classe dans une jolie boîte. Et on n’hésite pas à jeter le reste, c’est tellement libérateur !
Côté trousse, on implique les enfants dès le plus jeune âge pour tester les feutres et jeter les plus abîmés, ou tailler les crayons de couleurs.

On barre sur la liste ce qui n’aura pas besoin d’être racheté et on donne un coup de frais aux cartables et trousses s’ils sont lavables, c’est toujours ça de fait !

2. On se débarrasse dès que possible de l’achat des fournitures

Si on a reçu la liste de fournitures dès le mois de juin, inutile de se rajouter du stress de dernière minute pour réunir le matériel nécessaire… Idéalement on peut le faire avant même de partir en vacances, mais dans tous les cas on n’attend pas la veille de la rentrée ! Cela vous permettra de commander ce que vous n’aurez pas pu trouver ou ce qui a besoin d’être personnalisé.

Il existe aujourd’hui de multiples façons de se faciliter la vie : des sites internet spécialisés ont vu le jour si l’idée d’arpenter les rayons bondés des grandes surfaces vous donne de l’urticaire… Certaines librairies proposent de préparer votre matériel : il suffit de leur déposer votre liste puis de passer récupérer leur sélection. Tentant non ?

En plus du matériel défini par la sacro-sainte liste de fournitures, on n’oublie pas :

● Les étiquettes au nom de votre/vos enfants pour les vêtements, chaussures…
● Les chaussons pour les plus petits.
● Les gobelets/gourdes selon les classes.
● Les boîtes à goûter si besoin.
● Les équipements sportifs selon les activités.

3. On anticipe sur l’administratif

La rentrée et sa cohorte de papiers à remplir pour nos chères têtes blondes… Que du bonheur hein ?

Pour ne pas se laisser déborder la semaine de la rentrée, on profite de la fin du mois d’août pour anticiper au maximum :

On prend RDV chez le médecin pour avoir des certificats médicaux pour les inscriptions aux activités sportives.
● On passe par la case photomaton/photographe pour les photos d’identité.
● On demande ou on imprime les attestations d’assurances.
● On note les dates des forums d’associations ou des inscriptions en club.

4. On organise la logistique

C’est le moment ou jamais de faire le plein pour les courses alimentaires au drive ou sur internet pour ne rien avoir à acheter pendant la semaine de la rentrée.

Si on n’a jamais tenté le batch-cooking, c’est peut-être le moment d’essayer ? Imaginez le gain de temps et votre tranquillité d’esprit de savoir que le repas est déjà prêt quand reprendrons les marathons sortie d’école/goûter/devoirs/bains…
Pas forcément besoin de passer la semaine précédente en cuisine, mais on peut simplement penser à doubler certaines recettes pour en congeler une part par exemple. Cela vous évitera de manger des coquillettes ou de la pizza surgelée 3 fois de suite la semaine de la rentrée !

On pense aussi au petits déjeuners pour donner du courage aux petits écoliers avec une bonne brioche maison, des pancakes… On peut profiter de la dernière semaine avant la rentrée pour faire de la pâtisserie avec les enfants. Sablés ou cookies se conserveront très bien dans une boite hermétique. C’est l’occasion de passer un moment agréable en famille avant le rush de la rentrée.

5. On tire les dressing

Rien de plus énervant quand on est pressé et stressé le matin avant de partir à l’école et au travail que de s’apercevoir qu’un vêtement est trop petit ou abîmé !

Mieux vaut donc prévoir un petit tri, qui nous permettra aussi de faire le point sur ce qu’on a besoin de racheter pour la rentrée. On peut le faire en même temps que le tri des affaires scolaires pour les plus grands, ou attendre le mois d’août pour les plus petits qui peuvent encore prendre une taille de chaussures pendant l’été !

Si on a un peu de temps, l’idéal est de donner ou vendre immédiatement les vêtements qu’on n’utilisera plus et qui ne pourront pas servir à un autre membre de la fratrie. Grâce aux sites de vente de vêtements de seconde main, vous pourrez même racheter des vêtements à la bonne taille avec ce que vous aurez vendu. Économique et écologique !

6. On recadre les horaires

Pendant l’été, on est souvent plus souple en ce qui concerne les horaires de coucher ou de repas, alors mieux vaut anticiper pour que les enfants ne s’endorment pas à 22h la veille de la rentrée…

Une semaine avant le jour J, on essaie de décaler l’heure du coucher (et donc du repas!) progressivement selon les besoins.

On peut aussi profiter de la rentrée pour adapter le rituel du coucher ou le mettre en place si on n’en a pas encore. Les rituels sont importants pour assurer la sécurité affective de votre/vos enfant(s) et lui/leur permettre de se repérer dans le temps. Mais ils doivent aussi évoluer avec l’enfant au fil des années. La rentrée peut être le bon moment pour réadapter le rituel à l’âge de l’enfant.

7. On organise les mercredis

Les mercredis sont parfois compliqués à gérer quand on a plusieurs enfants, que l’on travaille ou pas !

Si vous travaillez, il faut s’organiser pour faire garder votre/vos enfants ce jour-là. A vous de décider de la meilleure solution en fonction de leurs âges, de vos besoins et de votre budget : chez de la famille à proximité ? Le centre aéré ? Chez une assistante maternelle ? Une garde à domicile ? Dans ce dernier cas, pourquoi ne pas profiter de cette garde pour éveiller votre enfant avec des ateliers pédagogiques ou d’immersion linguistique ? Beaucoup de parents l’ignorent, mais il existe une aide de la CAF, appelée Complément de Mode de Garde (CMG) qui peut vous servir à financer la garde de vos enfants de moins de 6 ans à raison de 16h par mois. Renseignez-vous !

Si vous avez plusieurs enfants et la chance d’être auprès d’eux le mercredi, vous aurez quand même besoin de vous organiser afin de faire cohabiter harmonieusement les activités de chacun. Renseignez-vous dès que possible sur les horaires des activités sportives et culturelles susceptibles d’intéresser vos enfants. Peut-être pourrez-vous vous organiser avec un autre parent pour vous éviter des allers-retours ?

8. On reste bienveillant sur les activités

L’offre actuelle d’activités sportives, culturelles et artistiques pour les enfants étant très riche, il est parfois difficile de faire un choix car on aimerait tout pouvoir offrir à nos bambins !

Mais il faut avant tout faire un choix en fonction de la personnalité et des goûts de son enfant. S’il n’arrive pas à choisir lui-même, on peut lui proposer de tester plusieurs activités, la première séance étant souvent sans engagement. Soyez avant tout à l’écoute de son ressenti pour que son activité soit un réel plaisir pour lui.

N’oubliez pas que le rythme scolaire, qui plus est lorsqu’on y rajoute du temps périscolaire et de cantine, est déjà fatigant pour les enfants. Évitez d’y rajouter une activité par jour… Les enfants ont aussi besoin d’avoir du temps à eux pour s’ennuyer et ainsi développer leur imagination.

9. On dompte le stress

Si vous sentez le stress monter pour vous et/ou votre enfant la rentrée approchant, pensez à mettre en place rapidement des outils pour le gérer.

Des exercices de sophrologie peuvent par exemple vous aider à garder l’esprit clair et peuvent être pratiqués en famille avec les enfants dès 5 ans.

Instaurer des temps calmes en famille peut vous aider à rester zen face à la période qui arrive, tout en offrant à vos enfants de belles habitudes de gestion du stress et des émotions. Les idées ne manquent pas : méditation, massages, activité manuelle relaxante, lecture à voix haute…

Pensez aussi aux huiles essentielles et aux fleurs de Bach pour un coup de pouce supplémentaire en cas d’anxiété de pré-rentrée !

10. On instaure des rituels en famille

Comme nous, les enfants aiment avoir des événements heureux en perspective dans leur routine quotidienne.

La rentrée peut être l’occasion de mettre en place des rituels en famille : un balade dans la nature le dimanche, une pizza partagée le vendredi soir pour se raconter la semaine écoulée, le petit bonheur du jour qu’on se raconte au dîner… Pas besoin de beaucoup d’énergie ou d’argent pour créer des souvenirs qui resteront dans le cœur de vos enfants à l’âge adulte.

Pensez aussi à vous récompenser pour cette période chargée pour les parents : un bon bain chaud, une séance de sport ou de yoga, ou tout ce qui peut vous aider à vous faire du bien. Pourquoi ne pas poser un jour de congé une fois vos enfants à la crèche ou à l’école pour profiter d’un peu de temps pour vous ? N’oubliez pas que pour être capable de prendre soin des autres, il faut d’abord prendre soin de soi-même. Vous le méritez !

Parentalité positive : La sophrologie pour les enfants et les parents

Etre parent est un métier passionnant… mais pas toujours facile ! Les tout petits réclament du temps, de l’attention, les plus grands chahutent, les ados sont en pleine « crise »… Nous nous entendons régulièrement dire « Tiens-toi tranquille », « Calme-toi », « Arrête de bouger » ou encore « Concentre-toi » ou « Fais donc attention ». Et notre enfant de nous interroger du regard « Se calmer ? Se concentrer ? Oui, mais comment ? »

Et si la sophrologie – vécue ici comme une philosophie de vie – nous invitait à l’apprentissage de la sérénité, de la concentration, à trouver une autre façon d’être en relation avec nos enfants ?
Florence Pays, sophrologue, nous explique pourquoi et comment cette discipline peut nous aider dans notre parentalité.

La sophrologie est une méthode psychocorporelle qui permet de prendre conscience de nos capacités et de nos potentiels. Pour ce faire, elle s’appuie sur des exercices simples et accessibles à tous utilisant notre capacité à ressentir notre corps, à être conscient de notre respiration, à activer la détente musculaire et la visualisation positive.

La sophrologie parent-enfant se veut ludique. Au travers d’exercices de respiration, de relaxation, d’écoute du corps, d’éveil des sens, la sophrologie se vit sous forme de jeux et d’exercices simples.
Par la sophrologie, l’enfant apprend à exprimer ses émotions, ses peurs, ses colères, sa tristesse, sa joie aussi. Elle l’aide à renforcer sa sécurité intérieure, sa confiance en lui, son sentiment d’identité.
Mais aussi, elle peut le soutenir dans ses apprentissages, l’aider à dépasser l’anxiété, un choc affectif, une crise, ou encore un changement de vie familiale ou scolaire. L’aider à désamorcer les différents stress qu’il peut rencontrer dans sa vie. Apprendre à mieux se connaitre.

Mais la sophrologie vient aussi nous éclairer dans notre vécu de parent. Elle nous invite à décoder nos propres besoins et ceux de nos enfants pour désamorcer les conflits et installer une communication bienveillante dans le respect de chacun.

Les axes principaux

La corporalité

la pratique de la sophrologie stimule et affine les sensations corporelles. Le schéma corporel est la représentation que notre cerveau a de notre corps dans l’espace : il est évolutif, il s’adapte en permanence, il inclut les prolongements de notre corps (stylo, raquette…). Les exercices debout mettent l’accent sur les sensations d’ancrage, d’équilibre et de verticalité.

La détente

la sophrologie nous invite à mettre entre parenthèses les tensions physiques et mentales. Par le ralentissement de nos mouvements physiques, nous pouvons abaisser nos rythmes biologiques (respiratoire et cardiaque) et par là-même diminuer notre cogitation mentale. Quand tout s’agite, nous pouvons inviter l’enfant à faire comme l’escargot. Et si celui qui gagnait la course était le dernier arrivé ?!

La respiration

la respiration est « notre accélérateur » et « notre frein ». La respiration est la source d’oxygène pour toutes les cellules du corps donc aussi des fonctions cognitives. Bien respirer stimule notre capacité de concentration et de mémorisation. Et lorsque la respiration devient consciente, tout s’apaise, se calme.

Quelques exercices de sophrologie à vivre en famille

Le ballon de la respiration

la respiration abdominale calme les angoisses, apaise les tensions et évacue le stress. Une main sur le ventre de son enfant ou de son parent, sentir le ballon de la respiration qui se gonfle et se dégonfle. On connecte la respiration de « l’autre » pour mieux ressentir sa propre respiration.

L’arbre et le promeneur

l’enracinement est le premier ingrédient de la conscience d’être, la sagesse populaire le dit à travers les expressions comme « bien dans ses pompes » ou encore «  avoir les pieds sur terre ». La conscience du corps est stimulée par le jeu « l’arbre et le promeneur » : l’un des deux joueurs joue à faire l’arbre (immobilité, si possible les yeux sont fermés), l’autre est le promeneur qui vient s’appuyer sur l’arbre pour l’aider à se sentir solide et ancré, il peut y faire sa gym, la sieste. Puis les rôles s’inversent.

Jeu du miroir

face à face (l’adulte est assis sur une chaise ou au sol), l’un fait tous les mouvements qu’il souhaite mais lentement, l’autre reproduit chaque mouvement avec précision. Les mouvements sont quasi simultanés et donnent une sensation de grande complicité. Laisser libre cours à l’imagination, tous les mouvements sont permis, mais toujours avec lenteur. Puis on échange les rôles, le miroir devient créateur de mouvements. On peut aussi mettre de la musique (douce !).

Exercice du Polichinelle (ou bouteille d’Orangina)

debout, les pieds parallèles, les genoux légèrement fléchis, Dans un premier temps, on peut faire des petits mouvements d’avant en arrière sans perdre l’équilibre puis on laisse un tremblement naitre dans les jambes et se propager dans tout le corps.
Les pieds restent à plat sur le sol, on décolle très légèrement les talons. Si l’espace le permet, on peut aller jusqu’à faire des petits sauts sur place. On peut laisser sortir le son «  a » puis on arrête les tremblements ; quelques instants de silence pour aller à la rencontre des sensations corporelles puis on recommence une deuxième fois : on laisse remonter les tremblements jusqu’au sommet de la tête puis un nouveau un temps d’immobilité, de silence pour accueillir les sensations une troisième fois.

Enroulement du dos

Un miracle morning pour les parents ?

Le principe du « miracle morning » n’en finit pas de faire des émules depuis presque 10 ans. Sorti en 2012, le livre de développement personnel de l’américain Hal Elrod propose de se lever plus tôt le matin pour s’accorder du temps, augmenter sa productivité et atteindre ses objectifs de vie.
Mais lorsque l’on devient parent, on a souvent du mal à envisager l’idée de se lever à 5 heures du matin pour enchaîner sport, méditation et écriture !
Alors une routine façon miracle morning est-elle incompatible avec la vie de famille ? Comment l’adapter pour profiter de ses vertus et en faire aussi profiter ses enfants ?

Le 14 avril dernier, Nathalie Lafrie nous a partagé sa vision du miracle morning en famille lors d’une séance des « Matins Sourires by Domissori« . Cette maman de trois enfants, passionnée de développement personnel et d’éducation, nous a donné ses conseils pour adapter sa routine du matin à son mode de vie et à sa personnalité.

Le miracle morning d'Hal Elrod

Dans son livre, Hal Elrod propose une routine en six points basée sur ce qu’il considère comme des « life SAVERS » :

Créer sa propre routine

On ne va pas se mentir, se lever à 5 heures du matin pour s’accorder 2 heures entières seul(e) ne convient pas à tout le monde. Il faut prendre en compte son besoin de sommeil, son heure de départ pour le travail, son temps de trajet… ainsi que le fait d’avoir un ou des petits êtres qui risquent de s’incruster à notre routine en cours de route !

Nathalie nous explique qu’on peut très bien adapter cette routine selon sa personnalité et ses impératifs, pour que celle-ci reste un plaisir et non une contrainte.

Si on dispose de peu de temps (même 15mn), on peut simplement avancer son réveil pour effectuer quelques étirements, visualisations et affirmations avant de lire quelques pages. Ou bien on décide de garder les life savers au complet mais en en choisissant un par jour. Ça tombe bien, il y en a six : on se garde ainsi la grasse matinée du dimanche – toute relative lorsqu’on a des enfants, on le sait…

En solo ou en famille ?

Deux options s’offrent à vous si vous êtes parents :

● Choisir de se lever avant ses enfants 
On profite ainsi du calme du début de journée, seul avec soi-même. En tant que parents, on sait à quel point le silence est précieux ! Ce moment à vous, même court, peut vous permettre de vous sentir frais et dispos pour accueillir l’énergie de vos enfants au réveil et débuter votre journée du bon pied.

● Adapter sa routine pour la suivre en famille
On peut mettre en place des rituels avec les enfants pour rester dans une bulle pendant la première heure de la journée et ainsi la commencer en douceur. En les adaptant selon les âges et les besoins de vos enfants, vous pouvez utiliser tous les rituels suggérés par Hal Elrod. Vos enfants aussi ont besoin de bien démarrer la journée et de prendre confiance en eux.

Personnaliser votre routine solo

Nous sommes tous différents, il est donc logique que la routine idéale soit différente d’une personne à l’autre.

On conseille d’activer son corps pendant sa routine matinale, mais on peut choisir entre une version douce ou plus tonique selon ses goûts. Rappelons que le développement personnel doit vous permettre de mieux vous connaître, il n’est pas là pour vous torturer ou vous rajouter des injonctions…

Nathalie nous conseille de commencer par se masser le visage en le tapotant pour se réveiller, en inspirant et en expirant. On peut ensuite faire tourner sa tête pour assouplir ses cervicales, étirer ses épaules, faire la position du chat… On choisit de le faire au sol ou debout mais surtout, on ne force pas !

Si on dispose de peu de temps devant soi, cela peut déjà être bénéfique d’avoir pris 5 minutes pour s’étirer le matin. Si on a un peu plus de temps, on peut enchaîner selon l’envie sur une séance de yoga, de running ou autre activité sportive qui nous fait du bien.

Si on choisit de ne faire que les étirements, on peut prendre encore un peu de temps pour la partie silence : méditer, respirer en pleine conscience ne serait-ce que pendant 5 minutes.

On peut ensuite dédier 5 minutes à la partie visualisation puis affirmations : on essaie de visualiser sa journée le plus précisément possible en utilisant les cinq sens pour « duper » son cerveau. On pose les intentions de notre journée, pour la démarrer de manière positive.
En ce qui concerne les affirmations, il s’agit de répéter, devant un miroir si on le souhaite, une ou deux phrases courtes nous concernant pour gagner en confiance : « je suis patient(e) », « je suis dynamique », « je suis créatif(ve) », « je suis capable de dire non »… Là encore, à vous de savoir ce dont vous avez besoin.

On peut ajouter à cette routine selon le temps dont on dispose un temps de lecture et/ou un temps d’écriture. Là encore, pas besoin d’avoir une heure devant soi. On peut noter ses émotions, ses ressentis, ses gratitudes ou, si on préfère quelque chose de plus pragmatique, planifier sa journée ou définir ses objectifs.

Définir une routine en famille

Si vos enfants sont du genre lève-tôt, vous n’aurez peut-être pas d’autre choix que de partager votre routine matinale avec eux. A vous d’en tirer le meilleur !

Les enfants aussi apprécient de réveiller leur corps le matin, il suffit d’y intégrer une dynamique ludique en utilisant le yoga des animaux par exemple, y compris pour étirer les muscles du visage devant la glace. Bonne humeur garantie !

Un temps de lecture le matin au réveil permet d’apporter de la nouveauté dans le quotidien où l’on a souvent l’habitude d’intégrer l’histoire au rituel du coucher. Installez-vous confortablement pour un petit moment avec votre/vos enfants en commençant la journée en douceur avec un peu de lecture.
Si votre enfant a débuté l’apprentissage de la lecture, il peut aussi lire lui-même l’histoire. C’est le bon moment car il sera reposé grâce à sa nuit. En effet les débuts de la lecture demandent beaucoup de concentration aux enfants et les fatiguent vite. Il débutera sa journée par une note positive pour la confiance en soi et appréciera ce temps privilégié passé avec vous.

En ce qui concerne la visualisation, elle est tout à fait appropriée aux enfants, bien plus connectés que nous à leur imaginaire. Ils peuvent aussi s’approprier l’exercice des affirmations positives en les répétant avec vous devant le miroir, au moment de se brosser les dents par exemple. A vous de leur proposer des phrases qui correspondent à leur problématique du moment : « je n’ai pas peur », « je suis intelligent », « je suis fort », « je suis beau/belle », etc. Cet exercice peut être un précieux outil quand la puberté et les premiers complexes pointeront le bout de leur nez…

Pour garder l’idée d’un temps de silence, parfois difficile avec de jeunes enfants, vous pouvez leur proposer un petit temps artistique (pendant votre moment d’écriture par exemple), avec une petite activité que vous aurez préparé la veille. Cela peut être un mandala à colorier, du collage, du découpage au poinçon… N’importe quelle création adaptée à l’âge de votre enfant qui demande du calme et de la concentration.
Si votre enfant a déjà appris à écrire, il peut lui aussi tenir un petit journal de gratitudes si l’idée lui plaît. Cela vous permettra au passage de conserver de jolis souvenirs…

Ces rituels sont souvent difficiles à maintenir les jours d’école, ne les imposez pas si c’est le cas ! Réservez-les aux vacances et aux week-ends, ou essayez de garder 5 minutes pour un des rituels. Il en faut parfois peu pour démarrer la journée dans un état d’esprit différent.

Il n’est jamais trop tôt pour apprendre à vos enfants à construire des mécanismes positifs. Prendre soin de soi est essentiel dans la vie et pourtant on ne nous l’apprend pas à l’école… D’où l’importance de s’offrir des moments à soi pour montrer l’exemple à ses enfants. Si ces rituels deviennent naturels pour eux, c’est gagné. Ils ne pourront bientôt plus s’en passer !

Prendre ces temps d’échange avec eux peut aussi vous aider à vous apaiser vous-même. Vous serez moins tentés d’élever la voix pour leur demander de se dépêcher le matin après ces moments partagés. Vous aurez aussi moins de crises à gérer si vos enfants se sont levés du bon pied. Il s’agit finalement de perdre du temps pour en gagner !